Etude de cas visa E-2

par Mackie Barham Adoniadis, Avocat d’Immigration américain, B&A Immigration

Voici un aperçu des étapes générales pour demander un visa d’investisseur de traité E-2. Chaque application individuelle est différente, mais j’ai énuméré le moment estimé quand c’est possible afin d’aider les investisseurs potentiels à mieux comprendre le processus. Pour plus d’informations sur le visa E-2, veuillez visiter le site Web de B & A Immigration E-2 ici.

Première étape : L’idée

Lorsque nos clients viennent d’abord chez nous, ils peuvent avoir une idée pour une entreprise qu’ils aimeraient commencer ou acheter aux États-Unis. Nous abordons les principales questions qui viennent avec une demande E-2 – si c’est la meilleure voie à prendre (par rapport aux autres options de visa applicables), les exigences et la façon de les satisfaire, le résultat probable et comment améliorer ces probabilités. À partir du moment où l’investisseur décide qu’il (elle) voudrait demander un visa E-2, nous les aidons à créer un calendrier et une check-list de la façon d’investir dans l’entreprise.

Deuxième étape : La mise en place de la société

C’est au moment où le client commence à investir en achetant ou en créant une nouvelle société. En général, un ou plusieurs voyages aux États-Unis sont nécessaires pour signer des baux, ouvrir des comptes bancaires et rencontrer des fournisseurs, des clients potentiels et des clients. C’est aussi à ce stade que les clients s’adressent aux courtiers, aux comptables américains et aux avocats corporatifs locaux pour des services professionnels spécifiques. Chaque investissement est documenté au cours de cette période pour créer une feuille de calcul de placement avec la preuve correspondante.

Souvent, le client vérifie à ce stade avec de nouvelles questions sur l’obtention de prêts possibles, si un certain coût peut être compté pour de l’investissement, et d’autres décisions qui peuvent surgir en cours de route. Le client m’envoie lentement des preuves dont j’ai besoin pour rédiger la demande.

Troisième étape La demande

Une fois que la société est créée et que l’investisseur est prêt à postuler, je rédige la demande de visa E-2, qui comprend l’écriture d’un mémoire décrivant l’entreprise dans son état actuel et soulignant pourquoi il devrait lui être accordé le statut E-2. Le mémoire explique également les antécédents de l’investisseur et pourquoi il est qualifié pour développer et diriger la nouvelle société. Cette étape prend généralement quelques semaines pour la préparer avant d’être envoyée à l’ambassade ou au consulat concerné.

La réponse est soit 1) un refus, 2) un RFE (Demande de Justificatifs), ou 3) une approbation et une invitation à un rendez-vous avec l’ambassade ou le consulat.

Quatrième étape : L’entretien

Le client (et parfois sa famille) se rend à l’ambassade ou au consulat pour demander un visa E-2. Je vais préparer le client quelques jours avant le rendez-vous, et nous discuterons des questions probables et des documents à apporter ce jour-là.

Lors d’une entrevue réussie, l’investisseur (et sa famille) laissent généralement leurs passeports à l’ambassade / consulat pour les visas à ajouter. Ils sont ensuite retournés soit à un point de ramassage ou par messagerie. Le timing dépend de la situation, mais sans anicroche, prend généralement environ une semaine. Nous conseillons toujours à nos clients de ne pas réserver de vols ou de déménager jusqu’à ce qu’ils aient les visas en main.

Cinquième étape : L’entrée aux États-Unis et faire fonctionner l’entreprise

À la réception des visas, l’investisseur et sa famille peuvent se rendre aux États-Unis et demander l’entrée sous le statut E-2 à la frontière américaine. L’investisseur dirige et développe l’entreprise.

Mackie Barham Adoniadis est une avocate américaine en immigration basée à Londres, au Royaume-Uni, et conseille des clients de partout dans le monde aux États-Unis sur les questions d’immigration. Pour la contacter, envoyez un courriel à mackie.barham@baimmigrationlaw.com ou visitez le site Web de B & A Immigration sur www.baimmigrationlaw.com.